♞ Riverdale - Saison 1 (2017)
Saison 1 diffusée en 2017.
Créée par Roberto Aguirre-Sacasa.
Nationalité : Américaine.
Genre : Drame, Thriller.
Format : 42 minutes.
Distribution : Acteur (rôle).
K.J. Apa (Archie Andrews) ; Lili Reinhart (Betty Cooper) ; Camila Mendes (Veronica Lodge) ; Cole Sprouse (Jughead Jones) ; Casey Cott (Kevin Keller) ; Madelaine Petsch (Cheryl Blossom) ; Mädchen Amick (Alice Cooper) ; Luke Perry (Fred Andrews) ; Marisol Nichols (Hermione Lodge)...
Synopsis :
Je l’ai regardé en français, je ne peux juger que sur ça. Ha ha. Je pense que je vais préciser dorénavant.
Bienvenue dans la petite ville de Riverdale. Bien sous tous rapports, elle bascule le jour de la disparition puis du corps retrouvé de Jason qui s’avère assassiné. Les secrets se délient et les personnes se révèlent.
C’est une série assez simple mais très prenante. Je suis facilement devenue accro. On veut savoir ce qu’il se passe. Malgré que ça soit classique et un peu stéréotypé, Riverdale a beaucoup de personnages. Parallèlement à l’enquête, où les lycéens font de même de leur côté, c’est concentré sur les protagonistes. C’est une ville où beaucoup de personnes se connaissent, il y a les histoires des jeunes et aussi de leurs parents.
Les indices sont parsemés mais je trouve que ce n’est pas une priorité. Les événements se précipitent à la fin concernant les ombres autour de la mort de Jason. J’avais pensé à cette personne. Hi hi ! Le scénario tient la route, on est concentrés sur les révélations, les caractères, et les secrets des personnages qui se dévoilent au fur et à mesure. Petit à petit, on apprend à les aimer, à les détester. Parfois on change d’avis aussi ! Les secrets sont maîtres mots et on ne sait pas tout.
Je ne peux pas parler des personnages un à un. Il faut se méfier des apparences. Essayer de les décoder. Surtout le ¾ a un problème mental. Ils sont quasiment tous cinglés, je sais que ce n’est pas politiquement correct mais ils sont cinglés ! La « normalité » est limite « anormale ».
J’ai beaucoup aimé Véronica, Jughead et Cheryl (surkiffé).
Parlons de l’aspect le plus important dans cette série et monte d’un cran son niveau. Ce sont les couleurs. Le cadrage les renforce. C’est assez puissant. Regardez la chambre de Cheryl ou encore le dinner. Cette série a un atout, c’est l’harmonie entre la mise en scène des couleurs et le jeu de l’éclairage. Le cadre est bien choisi la plupart du temps. L’éclairage dans certaines scènes top !
Créée par Roberto Aguirre-Sacasa.
Nationalité : Américaine.
Genre : Drame, Thriller.
Format : 42 minutes.
Distribution : Acteur (rôle).
K.J. Apa (Archie Andrews) ; Lili Reinhart (Betty Cooper) ; Camila Mendes (Veronica Lodge) ; Cole Sprouse (Jughead Jones) ; Casey Cott (Kevin Keller) ; Madelaine Petsch (Cheryl Blossom) ; Mädchen Amick (Alice Cooper) ; Luke Perry (Fred Andrews) ; Marisol Nichols (Hermione Lodge)...
Sous ses airs de petite ville tranquille, Riverdale cache en réalité de sombres secrets. Alors qu'une nouvelle année scolaire débute, le jeune Archie Andrews et ses amis Betty, Jughead, et Kevin voient leur quotidien bouleversé par la mort mystérieuse de Jason Blossom, un de leurs camarades de lycée. Alors que les secrets des uns et des autres menacent de remonter à la surface, et que la belle Veronica, fraîchement débarquée de New York, fait une arrivée remarquée en ville, plus rien ne sera jamais comme avant à Riverdale...
Série adaptée des personnages de l'univers Archie Comics.
Je l’ai regardé en français, je ne peux juger que sur ça. Ha ha. Je pense que je vais préciser dorénavant.
Bienvenue dans la petite ville de Riverdale. Bien sous tous rapports, elle bascule le jour de la disparition puis du corps retrouvé de Jason qui s’avère assassiné. Les secrets se délient et les personnes se révèlent.
C’est une série assez simple mais très prenante. Je suis facilement devenue accro. On veut savoir ce qu’il se passe. Malgré que ça soit classique et un peu stéréotypé, Riverdale a beaucoup de personnages. Parallèlement à l’enquête, où les lycéens font de même de leur côté, c’est concentré sur les protagonistes. C’est une ville où beaucoup de personnes se connaissent, il y a les histoires des jeunes et aussi de leurs parents.
Les indices sont parsemés mais je trouve que ce n’est pas une priorité. Les événements se précipitent à la fin concernant les ombres autour de la mort de Jason. J’avais pensé à cette personne. Hi hi ! Le scénario tient la route, on est concentrés sur les révélations, les caractères, et les secrets des personnages qui se dévoilent au fur et à mesure. Petit à petit, on apprend à les aimer, à les détester. Parfois on change d’avis aussi ! Les secrets sont maîtres mots et on ne sait pas tout.
Je ne peux pas parler des personnages un à un. Il faut se méfier des apparences. Essayer de les décoder. Surtout le ¾ a un problème mental. Ils sont quasiment tous cinglés, je sais que ce n’est pas politiquement correct mais ils sont cinglés ! La « normalité » est limite « anormale ».
J’ai beaucoup aimé Véronica, Jughead et Cheryl (surkiffé).
Parlons de l’aspect le plus important dans cette série et monte d’un cran son niveau. Ce sont les couleurs. Le cadrage les renforce. C’est assez puissant. Regardez la chambre de Cheryl ou encore le dinner. Cette série a un atout, c’est l’harmonie entre la mise en scène des couleurs et le jeu de l’éclairage. Le cadre est bien choisi la plupart du temps. L’éclairage dans certaines scènes top !
Une première saison assez prenante qui se concentre davantage sur les personnages que sur l’enquête sur la mort de Jason. Du mystère tout au long, des secrets dévoilés et un cadrage assez sympa. Je regarderai la saison 2.
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