Les baleines célestes, de Élodie Serrano
Éditions : Plume Blanche
Collection : Plume d’Azur
Autrice : Élodie Serrano
Couverture : /
Parution : 6 Novembre 2018
Collection : Plume d’Azur
Autrice : Élodie Serrano
Couverture : /
Parution : 6 Novembre 2018
Résumé :
Alors que le navire spatial du Capitaine Alexandra Levisky frôle les frontières de l’univers,
personne ne s’attend à ce que la maladresse d’un membre de l’équipage libère une des légendaires Baleines célestes.
Seulement, la gigantesque fuyarde se dirige droit vers le cœur historique de la galaxie,
au risque de détruire plusieurs mondes sur son passage…
personne ne s’attend à ce que la maladresse d’un membre de l’équipage libère une des légendaires Baleines célestes.
Seulement, la gigantesque fuyarde se dirige droit vers le cœur historique de la galaxie,
au risque de détruire plusieurs mondes sur son passage…
AVIS :
Avant de l’attaquer, j’ai relu la 4e de couverture. Je découvre alors nous nous aventurons dans l’univers au côté de d’Alexandra Levisky. Dès la première page, j’ai senti cette magie d’aventure en commençant à lire puis par extension, j’ai imaginé l’univers. Est-ce que cette sensation va durer pendant toute ma lecture ?
Tout d’abord, parlons de cette couverture. Elle est très reposante, par des couleurs absolument lumineuses avec cette petite pensée à une célèbre baleine, Moby Dick.
La Capitaine Levisky, dirige le cargo Éloise. Une petite équipe, limite rebus de la société, doit surveiller les frontières de l'univers. Malheureusement, un petit nouveau fait une bourde et heurte cette fameuse frontière. Manque de chance pour lui, une créature extraordinaire, s’en échappe, une baleine céleste. Comment ont-ils pu la heurter ? Comment l'équipe va-t-elle rattraper la baleine aventureuse, cette mangeuse de monde ?
En lisant les premières pages, je n’imaginais absolument que ce roman soit de la jeunesse. Les descriptions nous permettent de bien imaginer les lieux, d’être directement dans cet univers et de se croire avec cet équipage vagabondant les galaxies. L’espace est un sujet assez passionnant. Et c’est parti pour l’aventure ! Une enfant devant le Père Noyel, oui oui ! J’avoue que j’étais très excitée en lisant ces descriptions de la planète, ce contexte, de l’Histoire de cette conquête spatiale. Comment l’Humanité a pu conquérir tout l’univers ?
Je dois dire que l'univers d’Élodie Serrano est super intéressant et fascinant. La petite Histoire au début nous place le contexte de cette conquête spatiale. L'univers est large et s’arrête. Surprenant ! En plus de cette particularité, voilà que l'autrice nous met des grosses et gigantesques baleines au couleurs de la galaxie dans une réserve cachée. Ces baleines sont vraiment merveilleuses. Même si nous en savons très peu sur elle, les petits éléments qui se dessinaient au fur et à mesure ont rendu mes yeux pétillants. Je suis absolument fan de ces créatures. On s'y attache. On a envie de les connaître. De connaître leur caractère, leur fonctionnement, leur comportement, leur langage, leur biologie. Elles sont très intrigantes. C'est assez original. *-* La particularité est l’autre surnom qu’on leur donne. Absolument divin. Oui j’ai a-do-ré !
L'histoire est très simple. C'est vraiment une lecture détente et pas prise de tête. Ça secoue un peu avec les évènements et les petites surprises, néanmoins c’est assez calme. Nous prenons plaisir à découvrir le monde de Élodie Serrano. Elle a une écriture simple qui nous transporte facilement. Quelques références littéraires sont placées par ci par là.
En parallèle de la Baleine nous avons d'autres protagonistes. Trois points de vue qui nous permettent d'avoir trois visions du monde différentes.
Alexandra, reléguée au fin fond de l'univers à cause d'un égo, s'ennuie. Elle adore les livres papiers, une rareté dans ce monde numérique et futuriste. La Capitaine aimerait retrouver sa vie d'avant, plus importante, sauf qu'une baleine va passer par là. D'ailleurs cette histoire va être une révélation pour elle car elle va connaître enfin sa place.
Conrad, nouveau orgueilleux, arrogant qui ne rêve que de gloire. Le petit con qu'on déteste et qu'on n'aime pas beaucoup. Alors certes, ce n'est pas LE personnage trop imposant ou qui en jette dans les caractères. Son style, c’est d’être dans les petits papiers, prendre du galon et s’imposer, en gros dominer. Surtout que pour moi il est le déclencheur et sert qu'à ça. Je ne vois pas l’intérêt de ce personnage. Il est un peu trop soumis à la pensée parentale, limite sociétale qu’il m’a fait sourire.
Nathan, un scientifique pas très sûr de lui mais complètement passionné. La Baleine, elle a une place intégrante et principale dans l'histoire. D’autres personnages sont là évidemment, le petit équipage où les personnes sont rodées et se connaissent très bien, au niveau politique aussi on va faire connaissance. Ce que je trouve dommage, c’est un peu cliché ou stéréotypé sur les bords. Remarquez certaines perspectives ne changent pas tellement de la réalité.
Est-ce que ça a tenu toute ma lecture ? Malheureusement pas vraiment. L’aventure de cette intrigue débute sur un ton joyeux. Une équipe soudée se connaissant sur les doigts d’une main repartant en surveillance. Le relationnel envers leur Capitaine m’a fait rire. Surtout concernant leur tranquillité. À partir de la moitié du roman, ma joie commençait à disparaître. Malgré les évènements pour rattraper cette immense créature, je n’ai pas été autant emballée par la découverte du début. C’est assez classique dans les relations, dans la politique même. Ça peut être surprenant mais la joie est retombée. J’attendais qu’une chose que le roman se finisse et cette fin… à confirmer mon ennuie. Ce que je veux dire, sans être prévisible, elle est banale. Même la fin la plus simple souvent marche mais ici je n’ai pas été convaincue. En fait, l’histoire devenait de plus en plus insipide et un peu fade. Je suis déçue, faut le dire. Dommage. =/
Avant de l’attaquer, j’ai relu la 4e de couverture. Je découvre alors nous nous aventurons dans l’univers au côté de d’Alexandra Levisky. Dès la première page, j’ai senti cette magie d’aventure en commençant à lire puis par extension, j’ai imaginé l’univers. Est-ce que cette sensation va durer pendant toute ma lecture ?
Tout d’abord, parlons de cette couverture. Elle est très reposante, par des couleurs absolument lumineuses avec cette petite pensée à une célèbre baleine, Moby Dick.
La Capitaine Levisky, dirige le cargo Éloise. Une petite équipe, limite rebus de la société, doit surveiller les frontières de l'univers. Malheureusement, un petit nouveau fait une bourde et heurte cette fameuse frontière. Manque de chance pour lui, une créature extraordinaire, s’en échappe, une baleine céleste. Comment ont-ils pu la heurter ? Comment l'équipe va-t-elle rattraper la baleine aventureuse, cette mangeuse de monde ?
En lisant les premières pages, je n’imaginais absolument que ce roman soit de la jeunesse. Les descriptions nous permettent de bien imaginer les lieux, d’être directement dans cet univers et de se croire avec cet équipage vagabondant les galaxies. L’espace est un sujet assez passionnant. Et c’est parti pour l’aventure ! Une enfant devant le Père Noyel, oui oui ! J’avoue que j’étais très excitée en lisant ces descriptions de la planète, ce contexte, de l’Histoire de cette conquête spatiale. Comment l’Humanité a pu conquérir tout l’univers ?
Je dois dire que l'univers d’Élodie Serrano est super intéressant et fascinant. La petite Histoire au début nous place le contexte de cette conquête spatiale. L'univers est large et s’arrête. Surprenant ! En plus de cette particularité, voilà que l'autrice nous met des grosses et gigantesques baleines au couleurs de la galaxie dans une réserve cachée. Ces baleines sont vraiment merveilleuses. Même si nous en savons très peu sur elle, les petits éléments qui se dessinaient au fur et à mesure ont rendu mes yeux pétillants. Je suis absolument fan de ces créatures. On s'y attache. On a envie de les connaître. De connaître leur caractère, leur fonctionnement, leur comportement, leur langage, leur biologie. Elles sont très intrigantes. C'est assez original. *-* La particularité est l’autre surnom qu’on leur donne. Absolument divin. Oui j’ai a-do-ré !
L'histoire est très simple. C'est vraiment une lecture détente et pas prise de tête. Ça secoue un peu avec les évènements et les petites surprises, néanmoins c’est assez calme. Nous prenons plaisir à découvrir le monde de Élodie Serrano. Elle a une écriture simple qui nous transporte facilement. Quelques références littéraires sont placées par ci par là.
En parallèle de la Baleine nous avons d'autres protagonistes. Trois points de vue qui nous permettent d'avoir trois visions du monde différentes.
Alexandra, reléguée au fin fond de l'univers à cause d'un égo, s'ennuie. Elle adore les livres papiers, une rareté dans ce monde numérique et futuriste. La Capitaine aimerait retrouver sa vie d'avant, plus importante, sauf qu'une baleine va passer par là. D'ailleurs cette histoire va être une révélation pour elle car elle va connaître enfin sa place.
Conrad, nouveau orgueilleux, arrogant qui ne rêve que de gloire. Le petit con qu'on déteste et qu'on n'aime pas beaucoup. Alors certes, ce n'est pas LE personnage trop imposant ou qui en jette dans les caractères. Son style, c’est d’être dans les petits papiers, prendre du galon et s’imposer, en gros dominer. Surtout que pour moi il est le déclencheur et sert qu'à ça. Je ne vois pas l’intérêt de ce personnage. Il est un peu trop soumis à la pensée parentale, limite sociétale qu’il m’a fait sourire.
Nathan, un scientifique pas très sûr de lui mais complètement passionné. La Baleine, elle a une place intégrante et principale dans l'histoire. D’autres personnages sont là évidemment, le petit équipage où les personnes sont rodées et se connaissent très bien, au niveau politique aussi on va faire connaissance. Ce que je trouve dommage, c’est un peu cliché ou stéréotypé sur les bords. Remarquez certaines perspectives ne changent pas tellement de la réalité.
Est-ce que ça a tenu toute ma lecture ? Malheureusement pas vraiment. L’aventure de cette intrigue débute sur un ton joyeux. Une équipe soudée se connaissant sur les doigts d’une main repartant en surveillance. Le relationnel envers leur Capitaine m’a fait rire. Surtout concernant leur tranquillité. À partir de la moitié du roman, ma joie commençait à disparaître. Malgré les évènements pour rattraper cette immense créature, je n’ai pas été autant emballée par la découverte du début. C’est assez classique dans les relations, dans la politique même. Ça peut être surprenant mais la joie est retombée. J’attendais qu’une chose que le roman se finisse et cette fin… à confirmer mon ennuie. Ce que je veux dire, sans être prévisible, elle est banale. Même la fin la plus simple souvent marche mais ici je n’ai pas été convaincue. En fait, l’histoire devenait de plus en plus insipide et un peu fade. Je suis déçue, faut le dire. Dommage. =/
C’est un roman jeunesse qui nous transporte facilement dans son univers galactique et ces baleines célestes. Néanmoins, la joie de découvrir toute la future aventure est retombée bien vite, car l’ennuie m’est venu malgré les évènements intéressants et quelque peu surprenants. L’histoire retenait mon attention mais rapidement est devenue décevante.
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