Kuromukuro (Saison 1)
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Photomontage |
Nationalité : Japonaise.
Réalisateurs : Okamura Tensai, Okamura Yutaka.
Scénaristes : Higaki Ryou (Series Composition), Machida Toko.
Studio d'animation : P.A. Works.
Genre : Science-Fiction, Mécha, Comédie, Drame.
Format : 24 minutes.
Il s'agit d'un projet original pour fêter les 15 ans de P.A. Works.
Un jour, alors qu'elle rend visite à sa mère sur son lieu de travail, elle est témoin d'une attaque de "Démons" (Oni en vo). Au cours de l'attaque, elle remarque une lumière rouge sur un artefact mystérieux et appose sa main dessus. Elle éveille ainsi Kennosuke Tokisada Ôma, un homme vraisemblablement venu du passé qui la prend pour sa princesse.
Y A QU’UNE
SEULE SAISON !! HAAAAAAAAAAAAAN *dead*. Sérieusement, j’attends une suite
en fait. J’ai eu un gros coup de cœur pour cet anime. Je ne m’attendais pas d’A-DO-RER
autant. Avant tout, la fin est grande ouverte. Parfois ça ne dérange pas,
néanmoins ici, il faut une suite. Ça appelle à une suite et non à
l’imagination. Si les réalisateurs, les
producteurs et/ou les scénaristes passent par-là : FAITES UNE SUITE !
Merci.*yeux de chat potté*
Ayant
Netflix et cherchant un « nouvel » anime japonais à regarder, je
feuillette le catalogue. Oui, je raconte ma vie. Un titre
« Kuromukuro » et une phrase qui dit qu’« une jeune femme touche
un mystérieux cube ». Essayons. Le premier épisode a su capter mon
attention. Ça démarre tranquillement, nous voyons Yukina à son lycée qui doit
réfléchir à son avenir. Puis, elle doit se rendre sur le lieu du travail de sa
mère. Surprise, ils sont attaqués. Et que vois-je ? Des méchas, des combats
et un mec qui vient du passé ! FABULEUX ! Bref, tout ce que j’aime.
Happy j’étais. Un premier épisode fort captivant, retenant notre attention et
qui, faut le dire, envoie du lourd. Est-ce que la suite sera comme ça ?
Une petite peur persistait. J’ai regardé la série en 2 jours, je ne l’ai pas vu
en cours, sinon j’enchaînais ! Je n’avais qu’une envie de finir les cours,
aller chez moi pour voir la suite.
L’histoire
est complexe au départ car nous nageons un peu dans tout ce qu’on voit. Elle s’amplifie
au fil des révélations et des épisodes en devenant plus « simple ».
En fait je pensais à plus de complexité, mais au final, c’est un peu plus « simple »
que je le voyais. Nous attendons que les informations tombent et se révèlent. Il
n’y a pas assez de données au début. J’ai aimé ce mélange du passé, du présent
et voire d’un futur. Le passé et le présent s’accordent bien.
Kennosuke
Tokisada, ce samouraï, se réveillant dans notre monde qui est très différent de
son époque. Il connait les trolls, ces démons. Il a combattu ces méchas (d’où
viennent-ils ?) et veut protéger la princesse. Malheureusement pour lui, y
a le temps qui est passé. Bref, il arrive donc et découvre son environnement.
L’anime accentue cette différence de coutume, d’expressions. Ken pose des questions,
est perdu, est différent. C’est un combattant et il va se « recevoir des
claques » pour certaines pensées niveau « conditions des
femmes ». Ha ha. Le pauvre. Rien de méchant, ne vous en faites pas. Petit
choc de mentalités.
L’histoire
va s’agrandir tout autour de ce personnage, ainsi que du père de Yukina, ces
trolls, ces robots géants pilotés par des personnes et bien sûr Yukina
elle-même. Des bases sont posées. Nous entrons dans un rythme effrénés qui est
malheureusement coupé par des épisodes « écoles ». Ils n’ont pas su
gérer. Mais n’y faites pas attention. Cette histoire prenant de l’ampleur va
vous faire des bonds. Des combats absolument divins (ok, j’exagère peut-être),
nous propulsant davantage dans cet univers. C’est prenant, on est dedans, j’ai
adoré !
Yukina, une
jeune femme, pas trop stupide (Dieux merci), débrouillarde et se révèle au fil
des épisodes.
Autour de
Yukina et Ken, y a une panoplie de personnes secondaires ou non. Ils sont
attachants, on les apprécie. Ils ont une personnalité. Des amitiés renforcent
le tout. Je ne cite pas de nom car ils sont tous différents, pas trop
stéréotypés. En plus, il y a plusieurs nationalités et donc « différentes
cultures ». J’en ai apprécié
beaucoup. Le seul hic, ce sont les antagonistes. Ils laissaient à désirer au
bout d’un moment. Une sacrée classe quand on les découvre mais après aie, aie. Ils
sont toujours aussi bien mais perdent un peu de leur charme. Les deux
protagonistes sont bien travaillés et sont profonds.
Le scénario
qui tient en haleine, qui tient la route. Au compte-goutte nous découvrons la
vérité. Je ne m’attendais absolument pas à ça. Des problèmes humains comme la
peur qui entraîne la mort. C’est assez réaliste. Des mystères qui se dévoilent
et s’épaississent pour d’autres. Il y a plus de questions que de réponses.
C’est assez bien ficelé, malgré ma déception quand on a l’impression que ça
devient « simple ». Puis, BADABOOM pour le final. Rooooh cette
FRUSTRATION !
Plus je
m’approchais de la fin, plus j’avais peur. Pourquoi ? Y A QU’UNE SAISON.
Et ce que je redoutai, arriva. Ça finit à son apogée et d’un coup, le cœur bat
à la chamade, les yeux sont écarquillés, une course contre la montre, une
tension qui hante le corps et le coup de massue. Une fin frustrante et ignoble
pour mon cœur. Des mystères toujours inexpliqués et un potentiel énorme pour
une suite.
Ah oui, j'aime beaucoup le design, le character design. C'est ce qu'on dit ?
Ah oui, j'aime beaucoup le design, le character design. C'est ce qu'on dit ?
Une première
(et seule) saison prenante, entraînante. Une histoire qui nous emporte loin
mais un peu simple par moment. Des personnages diversifiés, attachants. Et le
nette plus ultra : des combats de tonnerre ! Une fin très frustrante,
grande ouverte où on attend une suite !
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